Merde. Merde. Et merde. Pourquoi ? Parce que je me réveille avec une gueule de bois. Une gueule de bois farouche. Ce n'est pas la pire de ma vie, loin de là, mais ce n'est jamais vraiment agréable de se réveiller avec un mal de tête chronique. La première chose que j'ai faite c'est passer mes mains sur mon visage, dans mon cou. Mauvais réflexe. La pulpe de mes doigts a rencontré des endroits douloureux sur la peau de mon coup. J'ai des bribes d'événements qui sont bien présentes dans ma tête. Et ils incluent tous Connor Jenner. Forcément. Mon arrivée avec lui, le baiser, ma déclaration d'amour et le fait qu'il m'a porter comme une princesse, tu parles d'une honte. J'ai encore des images, mais elles sont floues, j'ai des échos de cris, mes cris, ouais. Des grognements bestiaux, des mots en vrac. La seconde chose, c'est quand j'ouvre les yeux. Ce lit n'est pas le mien, celui-ci est confortable, il n'y a pas la moindre odeur de cigarette, rien du tout. C'est une grande pièce, il y a une guitare, il y a tout. Mon cerveau refuse obstinément de me rappeler ce que je fous là, je grogne et me blottis encore un peu plus dans les draps, je suis nu. Carrément nu, il fallait bien que ça arrive un jour non . Moi, mon coeur est hanté par un brun aux yeux bleus. Je suppose que je suis chez Connor, son odeur est partout sur les draps. Je ne dis rien, je grogne juste contre sont oreillers pour enfin rouvrir les yeux, je ne saurai pas dire combien de temps plus tard. Mais bon. J e sais pas si j'ai bien fait de me redresser quand la porte s'est ouverte. La douleur dans le bas de mon dos, me dis que j'aurai dû rester couché. « Putain de merde !» Très enrichissant n'est ce pas ? J'ai une vue sur le miroir. Je suis rempli de trace d'amour, laisser par mon... Amant ? Durant la nuit. Ouais, je suis amoureux de Connor Jenner, alors j'ai envie de dire... Petit ami ? 

Je me réveille. A côté de lui. Je ne sais plus vraiment ce qui s'est passé hier. Enfin, les souvenirs commencent a revenir doucement. Je me vois entrain de l'emmener dans une chambre, dans mes bras.Et...Oh mon dieu...Je me souviens de tout. On a couché ensemble. Si je n'étais pas aussi con, j'arrêterais de sourire. Non mais sérieux, comment ça se fait que j'ai ce sourire débile sur les lèvres? Peut être parce que j'ai apprécié? Et qu'après tout, je l'aime...Merde, reprends toi mon vieux. N'oublies pas que tu es a présent chez toi. Chez ton oncle. Je me lève doucement, reposant son bras qui était autour de moi sur le côté. Et attrape de quoi m'habiller pour ne pas traumatisé ma chère cousine et ses pères. Je descends les escaliers rapidement. Et préparent de quoi manger. Et ouais, chez les Jenner la bouffe c'est sacrés. Surtout après des efforts physiques. Je presse un jus d'orange, maison, m'occupe de faire griller les toast. Tout ça rien qu'en caleçon. On a l'habitude aussi chez nous de faire ça. Oui, d'être en sous vêtements. Wendy, elle moins, elle est plus chemise de nuit. Faut qu'un jour je lui achète des nuisettes. Elle verra c'est moins lourds a porter. Et comme ça je suis sur que le p'tit gars ne pourra pas lui résister. C'est vrai que si elle le veut dans son lit, elle devrait éveillé un peu de sensualité. Bien que ma cousine est très bien comme elle est, malheureusement pour elle, son copain ne comprends rien. Mais quand je dis rien, c'est rien de rien! Elle a beau essayer, je sais que ça ne va pas être simple. Je devrais un jour aller chercher de quoi le réveiller. Ouais, vous savez de beaux sous-vêtements..ect...Non mais pourquoi ça me gênerait? Elle est comme ma sœur et je veux l'aider. Après avoir terminer la préparation du petit déjeuner je remonte voir la belle au bois dormant. Bon elle est peut être pas entrain de dormir, mais elle reste belle. Qui je retrouve réveillé? Mon petit Lulu. J'avance doucement vers lui. Sans vraiment m'approcher trop près. «Bien dormi?» Je le regarde essayer de se relever...J'y suis allé aussi fort? Je ne pensais pas pourtant. Vraiment...Je crains même sa réponse désormais. Que dois-je faire? Assumer ce que je lui ai fais, ou ne pas l'assumer? Oulala...Je suis devenu comme ça en une nuit? Ça va être quoi après les prochaines? Ah mais oui il va en avoir d'autre. J'y ai goutté une fois et je ne suis pas près de le laisser filer.

Des morceaux de ma soirée me sautent à la figure, pour ne plus me souvenir de ça j'ai dû vraiment forcer sur la bouteille. Loin de moi l'idée d'en être fière, l'amnésie passe avec le temps, bientôt je me souviendrai de tout. Je ne vois pour le moment son visage, ses épaules, la sueur luisant sur son visage, les coups de bassin montrant bien qu'il n'était pas si innocent. Qu'importe, j'ai aimé. Et lui aussi si je me remémore bien les traits de son visage tordu par la jouissance. Je me souviens aussi de mes cris, ma voix plus rauque, passant moins par des notes aiguës. En peu de temps on a fait beaucoup de round. L'alcool l'excite où il a pris du viagra ? Je ne veux pas connaître cette réponse. En tout cas, c'était ma première fois. Je regrette que l'alcool en soit l'instigateur, mais j'avoue sans mal avoir apprécié. Son corps contre le mien, je l'ai tant imaginé, que je n'ai pu qu'apprécier. Oui, Connor était mon plus grand fantasme, et il renforce cette idée quand il arrive dans sa chambre, en caleçon. Si, je vous jure, si je n'avais pas si mal je lui sauterai dessus bien volontiers. Sa question ne me choque pas, au contraire, je trouve ça adorable. « Mes fesses ont déjà été en meilleure forme ! Mais c'est un mal pour un bien, n'est ce pas ? » Je me sens rougir, comment j'ai osé dire ça ? Je suis sans doute un peu fêlé sur les bords il ne faut pas m'en vouloir. Quand il s'approche plus près, mes bras passent autour de son cou et le font tomber sur le lit, sur moi. Ma bouche cherche la sienne, avidement, ma langue joue volontiers avec la sienne. « Premier baiser en étant sobre, je comprends pourquoi j'ai fini dans ce lit. » D'où me viens autant d'assurance ? Suis-je suicidaire ? Possible. Connor est plus grand que moi, un peu. Ses baisers vont devenir mon opium, et je m'en félicite. « Je pense que tu m'as rendu accroc. À toi. Je t'aime.» Plus pourri tu meurs, mais qu'importe. Ma main finit sa course de ses cheveux à ses lèvres, que mon pouce vient doucement caresser, ce type est la perfection incarnée. Il est Dieu. Mon Dieu. 

J'ai couché avec lui. J'ai vraiment couché avec lui. Waouh...je crois que je vais souvent me le répéter du coup. J’appellerais ça «faire l'amour» quand je serais sur qu'il ne va pas vouloir me tuer pour toutes es marques que je lui ai fait. Oh et aussi lors de notre deuxième fois, si il y en a une. Si ça n'arrive pas? Bha, j'ai seulement couché avec lui. C'est tout. Je m'amuse en le voyantt essayer de se relever. Je sourie rien qu'en le voyant grimacer. Heu...je deviens comme ma cousine et ça m'angoisse un peu. Pas que je ne l'aime pas hein, mais elle devient un peu comme moi. Je ne veux pas qu'on échange nos personnalités. Et encore moins nos corps...Je veux pas passer une nuit avec ce qui lui sert de petit copain et je veux pas qu'elle couche avec le mien, non mais oh. J'ai beau l'aimer plus que tout, je ne veux pas partager ça avec elle. «Ah...oui, j'ai envie de dire. Désolé, je crois que j'y suis allé un peu trop fort. Pardon.» Bon en vrai je m'en souviens pas très bien, mais je crois que j'ai été trop violent cette nuit. Bon, si y en a d'autre je pense que ça sera pareil.

Quand il m'embrasse, je me sens revivre. Et au putain, c'est fabuleux. Mais je crois qu'il est juste parfait ce jeune homme. Naturellement je lui rends ses baisers. Ma langue se laisse faire au début, puis le lui rends bien. Peut être qu'après tout, nous sommes cons. Que tout ça c'est con. Mais du moment, qu'on se sent bien n'est ce pas le plus important? Je le laisse faire...Et grand dieu, il vient de me dire le mot magique...Waouh, je craque complètement. Oulala...je suis amoureux. C'est affreux mais c'est vrai. «Haw...» Pas le temps de me laisser finir ma propre phrase, je me retrouve entrain de l'embrasser amoureusement. Pendant quelques temps. Je n'ai pas compté les minutes. «Je t'aime aussi...Bon je crois que je vais te laisser au moins descendre manger, sinon tu iras nul part.» Je le prends par la main et l'entraîne vers la salle a manger.

De la douleur. Du plaisir. De la tendresse. De l'amour. De la passion. C'était tout ça, et bien plus encore. Je me souviens des grognements dignes des animaux les plus sauvages. Je me souviens des griffures, des hurlements, des suçons que je lui ai faits, qu'il m'a fait. Je le sens encore dans mon dos, je sens les traces rouges. Peut-être qu'il a fait couler un peu de sang également, qu'importe. J'étais bourré, il l'était, mais ça n'a pas empêché l'amour de se frayer un chemin vers nos coeurs. Enfin, d'après ce qu'il me dit. Je suis heureux. Effrayer aussi. Les baisers, il y en a eu des centaines cette nuit et ils étaient tous remplis de sentiments. C'est débile, j'en conviens, mais l'amour est débile. Je vois mon avenir dans ses yeux bleus. Je vois nos enfants, je nous vois vieillir. Je suis idéaliste, je suis utopiste, peut-être qu'au final ce n'est qu'un jeu, mais je n'espère pas, vraiment pas. Il s'est excusé pour mes blessures, il m'a dit qu'il m'aimait et il m'a emmené dans la cuisine. Je suis resté bloqué. « Heu... Je... Ce n'est pas grave pour les blessures. » Non mais je vous vois arrivé mais j'ai mis un caleçon avant de sortir de cette chambre. Alors, dans ma tête j'ai assimilé qu'on avait baiser. On a baisé, couché ensemble, tout ce que vous voulez; Mais plus ça va, plus dans ma tête on a fait l'amour. Genre, comme des petits amis, comme un couple. Je sais, c'est stupide, mais pour moi c'est devenu ça en vrai. Je deviens fou je pense. Il me force à m'asseoir et... Il y a un plateau-repas devant moi. « Coco... T'es sûr ? » J'ai encore mal à la tête, j'ai abusé de la tequila hier ou bien . C'est quoi mon problème exactement . Je sais pas si je survivrai au fait de ne plus le voir, je pense que je suis vraiment accroc. Connor Jenner est devenu ma putain de drogue. « Tu n'as pas honte . Tu m'as drogué à toi c'est frustrant. » Un sourire passe mes lèvres, c'est rare, non . Mais là j'suis heureux. Foutrement heureux.

Le sexe c'est bon. Ma mère me l'a toujours dis et moi qui pensais que mes parents étaient trop coincés pour ça. Je me souvient qu'étant enfant, ma mère m'avait expliqué ça. Je devais avoir quatre ou cinq ans, je me souviens bien parce qu'elle m'avait dis quelque chose comme ça en rapport avec mon père. Ca m'est toujours resté. Car pour une fois, elle n'avait pas tort. C'est l'un des plus grands plaisirs sur terre, pour ne pas dire le meilleur. Dans la vie il n'y a pas beaucoup de plaisirs. Je n'en ai pas beaucoup. L'une de mes seules joies depuis quelques années, c'est ma cousine. Je la vois embellir de jour en jour, devenir un peu plus femme au fur et a mesure du temps. Et rien que pour ça, je la trouve belle la vie. Ensuite est venu celle du sexe, je n'avais jamais couché avec quelqu'un auparavant, mais ça me plais bien. Puis il y a lui...J'ai du mal a reconnaître le jeune homme que je connais, lorsque je repense a cette nuit. Il était un peu plus sauvage que moi, il m'a même fait un peu mal. Mais ça, jamais je ne l'avouerais. Jamais. Le plaisir que j'ai ressenti cette nuit, restera pendant longtemps dans ma mémoire. Et avec un peu de chance dans la sienne aussi. «Ouille...C'est vrai que je suis un vilain garçon.» Je lui tire la langue et vient vers lui avec une théière. «Thé, café ou lait?» Je préfère le lui demander, je ne sais pas trop quels sont ses goûts en matière de nourriture.

Je lui souris, vraiment. Je me sens bien, j'ai envie de le prendre dans mes bras. De l'embrasser encore et encore, pourtant tout ce que je trouve a penser c'est a ce qu'il se nourrisse. En vrai, j'ai envie de le lui dire..Si il veut pas manger, qu'il ne mange pas. Si il ne veut pas boire de boisson, et bien soit. Tout ce que je veux, c'est rester avec lui. Bref, je me retrouve en manque d'un garçon avec qui j'ai couché qu'une seule fois pour le moment. Je dis bien pour le moment, car je compte remettre le couvert d'ici peu. Et puis «Trop c'est jamais assez.» , c'est vrai, j'en aurais jamais assez. Ni d'entendre ses cris, ni de sentir ses lèvres sur les miennes, ni d'arrêter de déposer ma bouche dans son cou, partageant des plaisirs entre-nous. « hm...» Je rigole a ce qu'il dit, vraiment il me fais rire. Et en plus il a le sens de l'humour...Je suis certains qu'on va être heureux entre nous. Qu'on va pouvoir s'aimer pleinement, moi en tout cas je suis amoureux de cet idiot, de ce lapin. Je reste pensif réfléchissant a ce que j'allais faire par la suite. Est ce que je vais aller lui servie un lait chaud ou un thé anglais, ou simplement l'embrasser sur la table? Après quelques secondes de réflexions, je lui sers du chocolat chaud, lui donne un croissant. Et pendant qu'il mange je le regarde, ne touchant pas a mon repas. Admirant le jeune homme manger, boire et respirer. Peut être que la tentation a été trop forte après tout, sinon je n'aurais pas envie de lui comme ça.
Je me lève d'un coup de ma chaise, la faisant tomber a la renverse, sans aucune pitié. Repoussant, la sienne, suffisamment pour que je puisse l'embrasser de nouveau. Il ne devait sans doute pas s'y attendre, vu qu'au début il n'avait aucune réaction, mais après il s'est bien prête au jeu. Mêlant nos langues, nos mains et nos pensées ensembles. Je passe ma main sous son tee-shirt, parcourant ses abdominaux du bout des doigts. Lui toujours assis, moi a genoux, je me demande comment on fait pour rester comme ça pendant plus de cinq minutes. Sans vraiment reprendre notre souffle. Puis je le soulève légèrement, le plaçant sur le bord de la table et continuant sur ma lancée. «Je pense qu'il va en avoir un deuxième round, si tu veux bien-sûr...» J'attends sa réponse avant de lui retirer son haut, l'embrassant dans la nuque espérant lui faire le plus de plaisir.

Parfois, je me pose sérieusement des questions sur ma santé mentale. D'un coup, j'suis froid, timide et pas souriant, et de l'autre j'suis super-culotté et j'ose même demander une autre dose de sexe, va falloir qu'on me dise ce qui se passe dans ma tête. Je savais pas que l'amour rendait fou à ce point. Mais, quand je vois Connor, je me dis que j'ai bien fait de tomber amoureux de lui. Je lui ai déjà montré beaucoup de fois que je l'aimais, la preuve, je l'ai embrassé, je l'ai touché, il m'a touché. D'habitude j'ai horreur de ça, je déteste le contact humain, ça me dégoûte. Mais, Connor et Connor, j'ai confiance, je n'ai pas peur. La première fois que je l'ai vu je lui ai même présenté mon cou. Je pense, que j'ai vraiment confiance en lui. Je n'ai pas trop réagi hier, vraiment pas, et j'avoue que je m'en veux quand même. J'suis amoureux, mais je le dis pas forcément. Savoir que j'ai fait le premier pas me choque un peu, comme je le dis d'habitude ce n'est pas mon job. Enfin, je dis d'habitude alors que c'est la première fois que je sors avec quelqu'un. Il est devenu une part de moi entre deux soupirs saccadés, entre deux baisers, entre deux "je t'aime". Il est devenu ma vie, ma drogue, mon futur et mon présent. IL est ce que j'ai toujours voulu être, il est ce que j'ai toujours voulu avoir. Je sais, qu'un jour, j'adopterai des enfants avec lui, une fille, et un garçon. Je le sais parce qu'il adore Wendy, sa cousine, et qu'il aimerait avoir une fille aussi douce qu'elle. Et un fils, pour qu'il soit comme moi, c'est Connor, je sais ce qu'il pense et ce qu'il veut dire avant même qu'il n'ouvre la bouche. C'est une connexion, étrange, je l'admets, mais c'est une connexion, et j'aime ça. Je ne vois rien arrivé, il me repousse ma chaise et m'embrasse, j'avais peut-être été trop, moi . Trop entreprenant ? Bref, on est sur le point de recommencer, j'ai pu que hochait la tête quand il m'a demandé si j'étais prêt pour un autre round. Bon, disons, qu'a ce niveau de l'histoire mon haut à déjà disparu et que, pendant que moi et Connor on s'embrasse, y a une putain de princesse de contes de fées qui descend de sa chambre et qui remonte aussi sec en sortant un truc dont je me souviendrai toute la vie. « Je n'ai rien vu ! Connor, tu nettoies après !» Le moment, le plus, gênant, de ma vie.

On est sur la table, entrain de s'embrasser, lorsque d'un coup arrive une jeune fille que je connais que trop bien. Ma douce et tendre cousine. Je pensais qu'elle était chez son copain, mais je me suis trompé. Ca ne me gêne pas tellement vu que je lui raconte presque toute ma vie. Elle sait comme j'ai grandi, elle sait ce que j'aime, elle sait...pas pour mon agression. Mais a part ça oui, elle sait pour mes parents qui sont de gros connards. Elle passe seulement la tête, puis remonte aussi sec. Franchement si elle aurait bien pu ne pas sortir cette phrase ça m'aurait plu. Non mais entre nous on a un humour assez particulier, j'ai appris a vivre avec elle depuis des mois. On s'est trouvé un bon moyen d'entente. Je sais ce qu'elle veut dire, rien qu'en posant mes yeux sur elle je sais quand ça ne va pas. On a vraiment une connexion en fait. «Oh putain...» Je soupire, je me décolle de lui, jettant ma tête en arrière. Bon a voir avec lui si il a pas été trop traumatisé ou non. «Choqué? Tu veux quand même continuer ou tu veux manger...?» Je pense que c'est le scénario le plus minable de tous les temps pour ce genre de choses. Mais en même temps si je ne trouvais pas cette scène aussi comique je pourrais en pleurer.